Nous ne pouvons plus attendre ! Il est urgent d’adopter des mesures appropriées à la gravité de la situation.
Le renseignement pénitentiaire, a pris, pour des raisons idéologiques, un retard considérable qu’il est urgent de combler, en y consacrant tous les moyens logistiques et financiers nécessaires.
Le suivi et le contrôle des terroristes doivent évidemment être également renforcés et les crédits de réduction automatique de peine que nous dénoncions depuis longtemps déjà, supprimés.
Du côté des victimes, l’Institut pour la Justice tient à saluer la volonté d’améliorer les conditions d’évacuation de ces dernières par la création de « colonnes d’extractions » et celle d’adapter leur prise en charge à la gravité de la menace par des formations spéciales attentats, enseignant, aux personnels de soin, les techniques de médecine de guerre.
L’Institut pour la Justice estime que, même tardive, la mise en œuvre de ces mesures apparaît indispensable pour assurer une meilleure protection de nos concitoyens en cette période de risque accru de terrorisme.