A l’occasion de ces élections, la sécurité restait l’une des principales préoccupations des Français. Soucieux de défendre la parole des citoyens, l’Institut pour la Justice a mobilisé les candidats parlementaires, du Parti communiste français au Front national en passant par le Parti socialiste ou les Républicains, afin qu’ils répondent aux attentes des Français en s’engageant à œuvrer contre l’insécurité en région mais également à l’Assemblée ou au Sénat. Cet engagement est d’autant plus primordial que la justice pénale a été la grande oubliée des réformes annoncées par l’exécutif pour faire face à la menace terroriste.
L’Institut pour la Justice tient a félicité les vainqueurs de ces élections qui se sont engagés auprès de l’association à lutter contre l’insécurité et pour le droit des victimes à savoir Christian Estrosi, Hervé Morin, Valérie Pécresse, et Laurent Wauquiez.
L’Institut pour la Justice tient à rappeler que l’efficacité des lois en matière de lutte contre la sécurité dépend de la capacité de notre système judicaire à exécuter les peines, mais également de la solidarité de la garde des Sceaux qui ne cache pas sa désapprobation à certaines mesures annoncées par le président de la République.