Le Pacte pour la Justice initié par l’association en 2011 a donc bien été soutenu par plus de 1,75 million de personnes, comme l’affirmait l’IPJ et il constitue bien l’une des plus vastes mobilisations citoyennes des dernières années.
Me Eolas est donc condamné pour injure et diffamation à l’encontre de l’Institut pour la Justice. Ces propos avaient fortement nui à l’image et à la crédibilité de l’association, notamment en raison de la célébrité et de l’influence de Me Eolas sur internet.
L’Institut pour la justice tient à saluer cette décision sage et courageuse, qui permet de mettre un terme à cette malheureuse affaire et vient rappeler que personne n’est au-dessus des lois.
L’Institut pour la Justice souhaite à présent pouvoir retourner sereinement à ses actions, ses mobilisations citoyennes et ses travaux et publications scientifiques, notamment la Revue française de criminologie et de droit pénal.