En voici les premières lignes :
L’association a oeuvré, avec succès, pour un durcissement de la loi pénitentiaire. Jeudi 8 octobre, elle tenait son premier colloque sous le patronage de la garde des sceaux, Michèle Alliot-Marie.
Tapis rouge. Inconnu il y a encore deux ans, l’Institut pour la justice – qui se présente comme une association de victimes et un rassemblement de « citoyens responsables » oeuvrant pour davantage de « bon sens » en matière pénale – est désormais un interlocuteur ménagé par les pouvoirs publics. Jeudi 8 octobre, l’association organisait un colloque intitulé « La peine et son application, une justice à deux visages » dans les locaux de l’Assemblée nationale.