Son agresseur, pourtant récidiviste, n’aura passé que six mois en détention. Condamné à 5 ans de prison, seulement deux années étaient fermes. Avec le jeu des crédits de réduction de peine et la possibilité d’effectuer la fin de sa peine en milieu ouvert, le violeur a bénéficié de la possibilité de revenir à son domicile six mois après son incarcération.
La victime qui réside à proximité de son agresseur avoue vivre dans une peur permanente.