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L’IPJ interrogé sur les risques encourus lorsque l’on menace le Président

Après le jugement d'un individu qui avait envoyé des lettres de menaces au chef de l'Etat, Me Guillaume Jeanson, le porte-parole de l'Institut pour la Justice répond aux questions de Planet sur les suites judiciaires que peuvent avoir de tels actes.

Publication
15 mars 2019
Durée de lecture
0 minutes
Média
Planet

Le porte-parole de l’Institut pour la Justice explique notamment que « S’il s’agit de menace de mort, la peine théorique maximale est plus élevée : elle peut monter jusqu’à 5 ans d’incarcération et 75 000 euros d’amende. Toutefois, c’est quand les menaces visent à intimider ces personnes dans le but d’en tirer un quelconque profit que la sanction est la plus lourde. Dans ce cas, l’amende monte jusqu’à 150 000 euros et la détention peut durer jusqu’à 10 ans ».

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