Christophe Castaner avait alors promis « de frapper fort » avec la création d’un nouvel office anti-stupéfiants mutualisant les forces de police, de gendarmerie, de douaniers et de magistrats, pour lutter contre les réseaux de « l’international à la cage d’escalier ».
L’Institut pour la Justice rappelle au ministre de l’Intérieur qu’il existe partout en France des quartiers entiers qui vivent sous la loi du trafic et dans lesquels l’ordre républicain est piétiné. La mise en place concrète du plan qu’il a annoncé il y a plus de quatre mois est urgente.