Une intention louable mais qui mérite néanmoins d’être précisée.
L’Institut pour la Justice, qui regrette le recours abusif aux peines symboliques, soutient en effet le développement des travaux d’intérêt général pour les infractions de faible gravité.
L’Institut pour la Justice prend également acte de la volonté du président, réaffirmée ce matin par la garde des Sceaux, de construire durant son mandat 15.000 places de prison supplémentaires. Avec 13.497 détenus en surnombre au 1er octobre et 100.000 peines de prison ferme en attente d’exécution, ce premier pas encourageant risque cependant de ne pas être suffisant.