Dans la soirée du mercredi 22 novembre, l’Institut pour la Justice a organisé, dans 3 lieux centraux de Paris, la projection du portrait de Thomas, victime du drame de Crépol, avec la mention « N’oublions jamais Thomas ». La projection a eu lieu sur l’opéra Bastille, à proximité de l’Hôtel de Ville et sur le palais Chaillot, au Trocadéro.
L’Institut pour la Justice travaille avec des dizaines de victimes et leurs familles et sait d’expérience que celles-ci demandent, d’une part, de ne pas être oubliées et d’autre part, que le drame qu’elles ont vécu n’arrive pas à d’autres familles. Ne jamais oublier Thomas, c’est le sens premier de cette projection.
Thomas ne doit pas être oublié et les causes de ce drame ne doivent pas tomber dans l’oubli, sous peine de le voir se reproduire et briser d’autres familles. Les responsables politiques ont la responsabilité d’en tirer les leçons en mettant en place des politiques publiques protégeant les Français.
L’ensemble des Français sait que des causes systémiques ont mené au décès de Thomas, notamment un système judiciaire qui ne dissuade plus les délinquants et qui encourage la violence, et des flux migratoires qui mettent en danger mortel la cohésion de la société française.
Pour rappel, l’Institut pour la Justice est une association loi 1901 créée en 2007, indépendante de toute affiliation partisane, qui œuvre à une réforme de la justice pénale. Entièrement financée par ses 15 000 membres et soutenue par près de 220 000 sympathisants, elle demande une justice pénale plus efficace et plus protectrice des citoyens ordinaires.
A ce titre, l’Institut pour la Justice rendait hommage, ce mercredi, à Thomas, comme il rend hommage tous les jours à toutes les victimes de crimes ou délits qui auraient pu être évités.
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